lundi 19 janvier 2009

Nouvelles de notre semaine











GORDON

Que faire? Nous aimerions bien remplir notre porte monnaie et rapidement.
Ce n’est pas vital mais ce serais utile a notre voyage… Quelques jours de pluies à Gordon nous remuent les méninges… Il y a bien le ramassage des cerises, la région en cultive des hectares; mais les quelques demandes effectuée sont sans succès. Aussi nous pensons que les récoltant préfèrent les locaux pour ce travaille, malgré les « oui oui pas de problème ont vous appelle ».
Ultime recoure notre métier. Nous avons gardé ce joker en poche.
Nous autres Français nous nous targuons que notre cuisine et service sont les meilleurs. Certain pensent « Pas besoin d’être une flèche ch’ui Français, il n’y a cas claquer des doigts ». Voila un problème, beaucoup d’employeurs étrangers ont été déçues par le mauvais talent et la « grande gueule » de certains compatriotes. Même les cuisiniers Français expatriés de renommés ne veulent plus entendre parler de leurs camarades, préférant l’habileté et la rigueur asiatique. Ayant voyagé et pour avoir travaillé avec de curieux spécimens, nous sommes malheureusement de leur avis.

Cela dit nous composons notre plan d’attaque. CV bien présentés, agrémentés de photos culinaires et de restaurants en « grandes pompes »; nous nous diffusons en masse nos documents, a tous les établissements hôteliers dignes de ce nom. Nous profitons de la promiscuité d’Hobart pour trouver une connexion internet gratuite.

Aussi, Gordon est un endroit bien sympathique pour camper. On y trouve des huitres sauvages en bordure de mer. Un couple d’Australien habitant Melbourne nous a conviés à passer la soirée autour d’un feu. L’une journaliste, l’autre architecte, ils nous ont invités à passer les voir de retour sur le continent.

COCKLE CREEK

Cockle creek est tout au sud de la Tasmanie; après c’est l’Antarctique à 2500 Km (vol d’oiseaux). C’est un endroit que l’on peut admirer qu’avec les yeux; l’eau y est glaciale quant à l’air d’une rare pureté, dit-on.

RETOUR

Nous entamons notre retour vers le nord de la Tasmanie. En passant par Hamilton on trouve un paysage vallonné et sec, les seul endroits verts sont les abords des quelques rivières et des parcelles de terrain jouissent de l’irrigation moderne. On s’arrête une soirée, le village est petit et isolé, plutôt agréable, une bonne nuit de repos et c’est reparti.

LAKE ST CLAIR

Le parcourt est rude et escarpé, lorsque l’ont gravis plusieurs mètres c’est pour mieux les redescendre. Ca n’arrête pas et ca va durer un peu plus de 150km. Nous profitons d’une pause au Lac St Clair et Craddle Mointain national Park. Apres une randonnée de cinq heures isolé du monde ou nous avons profité de paysages variés: foret sèche, humide, clairière, marécage, lac. De retour au camp nous posons notre tente au bord de cette somptueuse et paisible étendu d’eau de St clair et assister a un levé de lune. D’ailleurs d’ici, l’astre parait deux fois plus gros et se lève a la verticale avec une étrange rapidité. Peut être somme nous les seuls, mais on avait jamais vu ça avant!






QUEENTOWN, GOMANSTON ET ZEEHAN

Toutes les trois sont des villes qui ont grandit en profitant des années fast de l’extraction minière. L’une d’elle était même à l’époque la troisième plus grande ville de Tasmanie. Riche et prospère, Zeehan possédait le plus grand théâtre du moment, 27 pubs et sa propre usine d’électricité qui permettait en autre d’illuminer ces rues.

Mais la production diminua, plus assez de travail et les habitants désertèrent la ville. A cela s’ajoute un incendie dévastateur, coup de grâce pour Zeehan. Cette ville comme les autres a vu chuter sa population de 10 000 à 650 travailleurs. Aujourd’hui le paysage garde les cicatrices du passé et d’une la rivière a du mal à se remettre de la pollution engendrer par l’exploitation excessive non contrôlée.

Gomanston est devenu une ville fantôme ou la nature reprend ces droits. Il y a de la mousse sur les routes défoncées, les maisons sont délabrées et il y a aucun signe de vie dans les environs (maisons à vendre pour les intéressés!). Nous avons pris quelques photos sans trop tarder.

Queentown et Zeehan continu d’exploiter le peu de gisements restant. Mais tente de revivre grasse au tourisme.

Nous recommandons la visite du musée de la dernière riche en histoire.







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