mardi 27 janvier 2009

Re Hello Victoria.

Chao Tasmanie!

Nous revoici dans le Victoria, après une traversée au rythme d'un bateau ivre, l'estomac un peu retourne, on se présente le lendemain a deux entretiens. L'un sur la péninsule de Morington, lequel un peu bidon, nous expliquant que la vie est dure et qu'il a besoin de pantin pour quelque heures de travail a la semaine; bref le ramassage de fruits gagne plus.
L'autre au "vue du monde" restaurant gastronomique moderne qui a le vent en "poupe" en ce moment.Nous sommes très bien accueilli, un problème seulement la partie "chic" n'a besoin d'aucun staff; reste le cote bistro mais les positions recherche ne sont pas au rendez vous.

Cependant le courant est bien passe et la personne des ressource humaine propose de diffuser nos CV.Apparemment les recruteurs ont du temps à perdre, ce qui est fort dommage et commence à nous agacer quelque peu.Il nous parait de plus en plus évident que la filière "luxe" de la restauration souffre de cette fameuse "crise", et les employeurs abordent 2009 avec anxiété...

Nous passons finalement les heures restantes à la bibliothèque de Melbourne et remettons à jour notre itinéraire.

vendredi 23 janvier 2009

Mole creek









Bien qu’ayant approché tout ces animaux dans leur environnement naturel, nous voici au Wild life Park de Mole creek. Ici nous pouvons admirer : 47 diables de Tasmanie, nourrie des wallabies, caresser des koalas et même prendre dans nos bras un petit wombat de 15kg; qui se laisse porter bien volontiers.









Diable de Tasmanie

Diable de Tasmanie


Poids: environ 6 kg
Couleur: noir avec une bande blanche
Vitesse: 13km/h sur des petites distances.
Régime alimentaire: Carnivore/ Charognard
Ils peuvent facilement tuer des wallabies, mais se contentent de manger des animaux morts. Impressionnant, ils dévorent une carcasse entière y compris poils et os.
Race: Marsupial
Il accouche d’environ 30 bébés, tous rentrent dans la poche maternelle, mais au final seulement 5 survives. Cela est lié aux nombres de mamelles. Contrairement a beaucoup de marsupiaux, la diablesse n’a aucun accès a ses petits et ne restent qu’un mois dans la poche avant de finir leurs croissances dans un « nid ».
Maladie: Certains d’entre eux souffrent d’une tumeur faciale et pour l’instant aucun remède n’a encore été trouvé. Rajoutons à cela, les 1 à 2% de la population qui passe sous les pneus des voitures chaque année.
Les spécialistes cherchent des solutions. Ils ont mit des populations en quarantaine dans les parcs animaliers. Ils essaient aussi le clonage.

Wombat

WOMBAT
Poids: 30 à 30 kg
Couleur: marron gris
Vitesse: 30km/h
Régime alimentaire: herbivore
Race: Marsupial (une poche ventrale, avec une ouverture vers le bas)
Moyen de défense: Fort fessier, il s’assoit sur ces adversaires et est capable de faire tomber un homme de taille moyenne. Il peut mordre aussi.

Narawntapu

Il ne nous reste plus qu’une semaine en Tasmanie, le compte à rebours a commencé et nous voulons absolument voir les fameux diables dans leur environnement naturel.
Apres l’ascension du « circular head » qui surplombe Stanley qui n’est qu’un petit village de pécheur, on reprend rapidement la route pour le Narawntapu national Park qui se situe à l’est de Devonport.



Ce parc est réputé pour sa vie sauvage. Au bout d'une longue randonnée de fin de journée, sans grande trouvaille, nous nous asseyons au milieu d’un lac asséché. Et quelle bonne surprise lorsque se dévoile des centaines de wallabies (petits kangourous), pademelons (sorte de wallabies) et wombats. La scène est irréelle! Curieux ou peut être tout simplement peureux, tous nous regarde du coin de l’œil et certains même se rapprochent pour mieux nous observer. Une fois la nuit tombée et le froid installé, toujours aucuns diables a l’horizon.
Quand subitement de retour au campement, un petit diable surgit des buissons. L’instant est magique! On l’a cherché si longtemps, il suffisait de le laisser venir à nous.

A voir les plages, les vacances se terminent en Australie.



Le bout du monde

Le bout du monde, c’est ici que nous nous tenons. Enfin c’est comme cela que se prénomme l’endroit car de là, la mer ne rencontre aucune terre avant l’Argentine. Un vent de tout les diables; on respire sans trop forcer et manquons parfois de s’envoler.




lundi 19 janvier 2009

Tour du monde….Pour un sourire


Partie a Wynard pour visiter le « Table cape »; plateau suspendu au dessus de la mer et son far construit en 1888.

En revenant de notre petite marche touristique; notre regard est interpellé par un super Defender immatriculé France. Sur la voiture, il y a une carte du monde avec un petit trajet de dessiner. Apres un moment d’attente, on rencontre d’abord le plus jeune de la famille Jonathan (18ans), puis arrive les parents. Tout deux exerçaient leurs métiers en France (Véronique infirmière et Bruno pompier) avant de tout lâcher. Quelques années d’économie et le début d’une fabuleuse aventure. Ils ont équipé leur voiture tout seul et c’est du vrai travail de pro.
On a passé la soirée ensemble, nous ont donné beaucoup de conseils et effacé quelques craintes sur les mythiques états du nord et de l’ouest de l’Australie.

C’était un vrai plaisir de les rencontrer…

On leur souhaite sincèrement que du bonheur pour leur tour du monde!!!!

Nouvelles de notre semaine











GORDON

Que faire? Nous aimerions bien remplir notre porte monnaie et rapidement.
Ce n’est pas vital mais ce serais utile a notre voyage… Quelques jours de pluies à Gordon nous remuent les méninges… Il y a bien le ramassage des cerises, la région en cultive des hectares; mais les quelques demandes effectuée sont sans succès. Aussi nous pensons que les récoltant préfèrent les locaux pour ce travaille, malgré les « oui oui pas de problème ont vous appelle ».
Ultime recoure notre métier. Nous avons gardé ce joker en poche.
Nous autres Français nous nous targuons que notre cuisine et service sont les meilleurs. Certain pensent « Pas besoin d’être une flèche ch’ui Français, il n’y a cas claquer des doigts ». Voila un problème, beaucoup d’employeurs étrangers ont été déçues par le mauvais talent et la « grande gueule » de certains compatriotes. Même les cuisiniers Français expatriés de renommés ne veulent plus entendre parler de leurs camarades, préférant l’habileté et la rigueur asiatique. Ayant voyagé et pour avoir travaillé avec de curieux spécimens, nous sommes malheureusement de leur avis.

Cela dit nous composons notre plan d’attaque. CV bien présentés, agrémentés de photos culinaires et de restaurants en « grandes pompes »; nous nous diffusons en masse nos documents, a tous les établissements hôteliers dignes de ce nom. Nous profitons de la promiscuité d’Hobart pour trouver une connexion internet gratuite.

Aussi, Gordon est un endroit bien sympathique pour camper. On y trouve des huitres sauvages en bordure de mer. Un couple d’Australien habitant Melbourne nous a conviés à passer la soirée autour d’un feu. L’une journaliste, l’autre architecte, ils nous ont invités à passer les voir de retour sur le continent.

COCKLE CREEK

Cockle creek est tout au sud de la Tasmanie; après c’est l’Antarctique à 2500 Km (vol d’oiseaux). C’est un endroit que l’on peut admirer qu’avec les yeux; l’eau y est glaciale quant à l’air d’une rare pureté, dit-on.

RETOUR

Nous entamons notre retour vers le nord de la Tasmanie. En passant par Hamilton on trouve un paysage vallonné et sec, les seul endroits verts sont les abords des quelques rivières et des parcelles de terrain jouissent de l’irrigation moderne. On s’arrête une soirée, le village est petit et isolé, plutôt agréable, une bonne nuit de repos et c’est reparti.

LAKE ST CLAIR

Le parcourt est rude et escarpé, lorsque l’ont gravis plusieurs mètres c’est pour mieux les redescendre. Ca n’arrête pas et ca va durer un peu plus de 150km. Nous profitons d’une pause au Lac St Clair et Craddle Mointain national Park. Apres une randonnée de cinq heures isolé du monde ou nous avons profité de paysages variés: foret sèche, humide, clairière, marécage, lac. De retour au camp nous posons notre tente au bord de cette somptueuse et paisible étendu d’eau de St clair et assister a un levé de lune. D’ailleurs d’ici, l’astre parait deux fois plus gros et se lève a la verticale avec une étrange rapidité. Peut être somme nous les seuls, mais on avait jamais vu ça avant!






QUEENTOWN, GOMANSTON ET ZEEHAN

Toutes les trois sont des villes qui ont grandit en profitant des années fast de l’extraction minière. L’une d’elle était même à l’époque la troisième plus grande ville de Tasmanie. Riche et prospère, Zeehan possédait le plus grand théâtre du moment, 27 pubs et sa propre usine d’électricité qui permettait en autre d’illuminer ces rues.

Mais la production diminua, plus assez de travail et les habitants désertèrent la ville. A cela s’ajoute un incendie dévastateur, coup de grâce pour Zeehan. Cette ville comme les autres a vu chuter sa population de 10 000 à 650 travailleurs. Aujourd’hui le paysage garde les cicatrices du passé et d’une la rivière a du mal à se remettre de la pollution engendrer par l’exploitation excessive non contrôlée.

Gomanston est devenu une ville fantôme ou la nature reprend ces droits. Il y a de la mousse sur les routes défoncées, les maisons sont délabrées et il y a aucun signe de vie dans les environs (maisons à vendre pour les intéressés!). Nous avons pris quelques photos sans trop tarder.

Queentown et Zeehan continu d’exploiter le peu de gisements restant. Mais tente de revivre grasse au tourisme.

Nous recommandons la visite du musée de la dernière riche en histoire.







vendredi 9 janvier 2009

Quelques mots sur la Tasmanie.

Les plages d’une rare beauté: Mais des baignades douloureuses, à moins d’être une otarie.

Climat: La Tasmanie possède officiellement quatre saisons qu’il n’est pas rare d’avoir dans une même journée.
1.Un soleil à vous bruler la peau (Dans le journal il annonce des indices 9)
2.Une pluie à vous glacer les os
3.Des bourrasques à vous décoiffer (Dans notre guide, il parle même du quarantième rugissant)
4.Dit-on de la neige sur les cimes à tout moment de l’année.

Animaux: Tout de même une faune incomparable, mais difficile à préserver prés des routes.

Habitants: Ils sont aussi déconcertants que le climat, tantôt super gentil et tantôt « bizard »

De nombreuses activités (randonnée, canoë, plongé,…) toujours très onéreuses.

Tourisme: Le nom de l’ile résonne comme dans un rêve lointain, isolée du reste du monde. Malheureusement pour nous, ce petit pays subit l’abordage de nombreux touristes venant des quatre coins du globe.

Route: Sinueuse et escarpée. La plupart des habitants se plaisent de rouler à vive allure.

Bière: Tradition Anglo-saxonne, elle tient une place importante aux cœurs des Tasmaniens. L’une d’elle a même le privilège d’être sponsorisée par une haute personnalité politique. Nous avons même trouvé la « tong décapsuleur » et une compilation de musique s’appelant « The beer compilation »

Le voyageur

En arrivant au camping de Gordon, un drôle de « camping car » sortant de l’ordinaire australien est garé juste devant nous. Il s’appelle « Le voyageur » et sa plaque immatriculation est française. A peine avions nous réfléchi que nous avions frappé à la porte; Deux sympathiques retraités nous ouvrent. Ils nous racontent leur voyage autour du monde. Ils ont pris le bateau de France jusqu’en Argentine, traverser l’Amérique du Sud, puis du nord. Ensuite pendant que leurs maisons roulantes traversait le pacifique, ils visitaient la Nouvelle-Zélande, pour enfin la retrouver en Australie. Leurs aventures s’achèvera par la traversé de l’Inde, Népal, Europe de l’est et la France.

C’est un couple plutôt modeste ne parlant que très peu anglais. Un si grand voyage force le respect.






mardi 6 janvier 2009

3 Janviers 2009 - La découverte de Hobart

Apres avoir passé la nuit sur la Péninsule de Tasman dans un parc naturel, on voulait faire une petite randonnée de quatre heures, mais voila en Tasmanie le temps change tout le temps; La journée commençant par la pluie et le froid, On s’est finalement dirigé vers Hobart.

Hobart est la deuxième la plus vieille de l’Australie et la plus grande ville de Tasmanie (celle-ci ne possède que deux villes, le reste sont villages et parcs nationaux).
A peine arrivé, on est surpris par la taille de la ville et par les habitations qui vont jusqu’aux collines voisines. Aujourd’hui c’est samedi et donc jour de marché, nous décidons de nous y rendre. Le Salamanca Market est immense, on y trouve toute sorte de produits issues de différentes cultures. Et bonne surprise, c’est la semaine du « Taste of Tasmania » et étrangement c’est l’Afrique de l’ouest qui est à l’honneur. Il y a plusieurs petits concerts d’artistes africains, le publique aime, danse et en redemande. Pour mon plus grand plaisir il y a même de la nourriture africaine. Philippe a pu gouter les délicieux « beignets de maïs » qui me rappel tant de souvenir. Ca change de la campagne Tasmanienne!




Plus loin de trouvait dégustation de vin et spécialités Tasmaniennes (principalement a base de produit de mer)

2 Janvier 2009 - Port Arthur







On a donc pu passer un agréable « nouvel an » avec nos deux compatriotes. On a bien festoyé tout en se racontant nos diverses aventures. Et comme la première fois, la connexion s’est faite à merveille. La gourmandise était au rendez-vous, tout comme la pèche et le Monopoli. (Rire)

La pèche fut un désastre et on a tous perdu fasse a Thomas! Capitaliste! Apres ce super week-end, on a décidé d’aller du cote de « Port Arthur ».

Pour commencer un temps d’histoire.

La Tasmanie fut découverte en 1642 par un navigateur hollandais qui la baptisa « Terre de Van Diemen ». L’ile de fut coloniser quand 1803 par les britannique, a l’époque, seul les aborigènes occupaient les lieux.

Les prisons anglaises débordaient tellement que les navigateurs emmenèrent avec eux des bagnards. Ces derniers étaient transférés soit à vie, soit pour une période déterminée. On dit qu’il suffisait de voler un bout de pain pour se retrouver en Tasmanie. Il y a eu trois réels établissements pénitentiaires:
Ÿ 1822: Macquarie Harbour sur Sarah Island
Ÿ 1825: Maria Island
Ÿ 1830: Port Arthur

La déportation était elle quand vingt ans, la moitie de la population était des bagnards. Le dernier transport de condamnés eu lieu en 1856. (Soit 26 ans âpres l’ouverture de Port Arthur).

Port Arthur est situé sur la « Péninsule de Tasman », qui au dépars servait de prison naturelle. Elle était gardé cote continent par des chiens enragés et on contait que l’eau était infestée de requins. Ce pénitentiel ferma ces portes en 1877 et on estime qu’en moyenne 12 500 personnes purgèrent leurs peines dans ces lieux, ou l’atmosphère reste hantée de vieux souvenir.

Désormais, le site historique est devenu la principale attraction de la région; la foula à l’entré est impressionnante autant que l’organisation du personnel. Nous avons visité le site mais la plupart des bâtiments on était détruit durant un « bushfire ». Il en reste tout de même quelqu’un et s’autre en court de rénovation; Notons que l’architecture y est très belle.

samedi 3 janvier 2009

Quelques nouvelles de nos aventures

Bay of fire

(Au moment où j’écris un couple de dauphin nous passe sous le nez.)

Ce nom fut donné à la baie après que les premiers colons de Tasmanie aient aperçus les lueurs des feux de camps aborigènes depuis leurs navires. On aurait aussi put donner ce nom a cause de la couleur « feux » des roches bordant la baie.
C’est ici que nous réveillonnons aux milieux d’autres campeurs, préfèrent peut être la nature aux réunions de famille. D’ailleurs le parc nous parait étrangement calme pour l’occasion, ce qui finalement nous arrange… Pour l’occasion nous avons put déguster poissons frais, pomme de terre, poireaux confit, patate douce et bananes, le tous cuit à la braise. Sans oublier la bouteille de vin offert par Ginni.
Ce fut un réveillon unique, très différent de nos habitudes; total dépaysement.











Le lendemain, nous avons pris la route afin de trouver le Aspley National Parc. Au bout d’une randonnée de deux heures, nous avons put profiter d’une bonne baignade dans les bassins d’eau claire d’une rivière. Pour terminer la journée nous voici à Bicheno; petite ville touristique côtière où nous
écrivons ces quelques mots.








Une rencontre inattendu!



C’est par un soir, recherchant un spot pour dormir, que nous apercevons un étrange panneau de signalisation représentant « attention pingouins ». On connait le « attention kangourou » ou koala devenue désormais banal. Mais celui-ci nous intrigue quelque peu. Nous décidons de nous arrêter et de résoudre l’énigme en visitant la plage voisine. Au premier abord rien d’anormal, du sable, de l’eau, des rochers; mais tout de même quelques couples de personnes semblent attendre un événement. Ils ne sont pas là pour le coucher du soleil, y en a pas. Donc nous décidons d’attendre à notre tour.
Après une longue attente, la pénombre nous entoure… Pourtant les gens autour de nous restent en scrutant l’océan. Finalement découragé, et trouvant la scène un peut bizard on se lève pour regagner notre van, lorsque tout a coup pleins de petites choses semblent fuir a notre passage, n’émettant aucun cri; mais pourtant trahis par le clapotement de leurs palmes. Ils ont bien là! Haut comme trois pommes, sortant discrètement de l’eau et marchant prudemment par petits groupes. Nous n’en croyons pas nos yeux! Allongé au sommet d’un rocher, nous les contemplons tant bien que mal vu le peut de lumière; et bientôt ces petits êtres évoluent autour de nous, gagnant les herbes hautes séparant la mer du village.

Apparemment ils ont élus Bicheno comme dortoir et l’on peut même les croiser au détour d’une rue. Les habitants les observent avec le plus grand respect utilisant des lumières rouges pour ne pas les effrayer. Nous avons vécu la rencontre de ces petits pingouins aux attitudes vraiment comiques comme un cadeau le jour du 25 décembre.





Péninsule de Freycinet.


En cette période de fin d’année, la péninsule est un endroit très prisée par les Australiens, mais aussi de nombreux touristes venues admirer les lieux. Majestueuses collines de granit rose, foret sèche d’eucalyptus, eau calme et limpide; de cette harmonie se dégage un parfum de paradis. Aussi nous en avons profité pour déposer quelques CV et étions à deux doigts de l’embauche pour un magnifique cottage les pieds dans l’eau. Ce fut finalement sans succès; des postes déjà pourvus et des employés qui ne veulent quitter les lieux, nous comprenons au vu de l’endroit…Nous avons tout de même profité de randonnées grandioses et avons aussi dégusté quelques huitres qui nous rappel quelque peu celle de Noirmoutier.



















Surprise!

Finalement après la douche froide nous revoici en route et nous retrouvons après un long moment le réseau de notre ancien operateur téléphonique. A notre grande surprise Déby et Toma (des amis que nous avions rencontré à Lismore chez Wendy) viennent de nous laisser un message indiquant qu’ils nous attendent pour le réveillons du 31, dans une petite maison de bord de mer prêtée gentiment par leurs hôtes. Nous qui cherchions à les joindre depuis quelques jours, nous nous empressons de suivre leur direction.
Bon réveillons à tous!



2009

Nous voici en compagnie de Deby et Tom et c’est ensemble que nous réveillonnons pour la st Sylvestre.
Ambiance Franchouillarde autour d’une tartiflette mêlée de mousseux Australien et de quelque confettis et nous voici déjà en 2009, l’année nous espérons, de toutes nos ambitions…



Meilleurs vœux à tout le monde!