mardi 25 novembre 2008

Des blueberries partout !!

On a donc repris notre activité de récolte de Blueberries et c’est a grande allure que l’on rempli nos sceaux (étant payé au kilogramme faut pas chômer).

Nous nous entendons bien avec les patrons, ils nous laissent camper sur leur terrain et aussi utiliser douche, électricité, gaz et nous invitent parfois à diner.

Le ramassage de myrtilles n’est pas un travail très fatigant physiquement, mais assez lassant à la longue et lorsque l’on ferme les yeux deux secondes il reste une image persistante des grappes de fruits; c’est amusant!

Nous avons travaillé une petite semaine (on a pu gagner environ 700$ chacun) et nous repartons dés demain beaucoup plus bas, direction la capital.

dimanche 23 novembre 2008

Bizard, bizard !


Après avoir passé 5 jours chez nos nouveaux hôtes (des gens assez spéciaux), on était très content de pouvoir repartir cueillir nos fruits préférés.

En effet, ces derniers possédaient des chambres d’hôtes et des « cottages » (petites maisons) qu’ils louaient pour des courts séjours. Ils avaient aussi un certains nombres d’animaux: canard, cochon d’inde, chats, chiens, dindon, vaches, poulets, lama et pour finir des oies qui dormaient juste devant notre chambre. (Je vous laisse imaginer le bruit)

Notre principal travail étaient en premier lieu de ramasser le « caca » des lamas, ensuite de nourrir les animaux et puis de laver les vitres de toutes leurs maisons Enfin bref, une semaine sans intérêt, puisque même les propriétaires des lieux étaient très étranges.
« Elle » était surexcitée et un peu hystérique. Quand à lui, il était maniaque, froid et nous parlait à peine.

En conclusion, on a quand même profité du confort d’une chambre d’hôtel et on a pu être à l’abri de la météo.

Changement de pâture (belle vache de Jersey)

une des cotages




Ils utilisent les poils pour en faire des vetements (un peu comme la laine), le tout est fait a la main.

jeudi 20 novembre 2008

Il pleut ?

L’Australie est réputé pour être un continent sec, les rivières et nappes phréatiques en souffrent. Toutefois en ce moment il pleut des cordes.

Blueberry Trees

Nous avions trouvé un travaille de ramassage de « blueberry », mais le hic c’est qu’il est impossible de récolter ces billes bleues lorsqu’il pleut. Après deux jours de « fruits picking », Penny la responsable de la ferme nous a donc suggéré un autre « helpExchange » dans les environs de Kendall en attendant le retour des beaux jours.

Ticoba Blueberry Farm

L’Etat du Queensland fait d’ailleurs le frais de ces intempéries, le passage d’un cyclone a causé beaucoup de dommages…

Allez! Mettons nous au sec, il est un peu fou ce printemps.

A bientôt!

mardi 18 novembre 2008

Le temps d'une journée en Birmanie.


Voila c’est la fin de notre séjours à Kendall et pour notre dernier jours on a eu droit à une cérémonie Birmanienne l’âpres midi (grâce à notre date de naissance Tin nous a donné des noms) et le soir à un menu traditionnelle de son pays natal. On a passé une très bonne soirée.
Après ce délicieux repas, elle nous a montré certaines dansent asiatiques.
Tous vêtu de nos tenus traditionnelles, ce fut un moment inoubliable !





Et le départ fut difficile, Tin en hôte si attentionnée ne manque pas de nous offrir un carton plein accessoires pour le van ou encore à manger (petit plat asiatique ou bon gâteau au chocolat préparer la veille) en prétextant « Vous avez besoin de forces pour gagner beaucoup d’argents ».

Eh oui, on a trouvé du travail ou plutôt Ian nous en a trouvé ! Mais pas dans l’hôtellerie, dans le ramassage de fruits (myrtille). C’est un moyen efficace de collecter de l’argent rapidement.

La photo de famille

Timbertown

Mardi tin nous a invité au « Timbertown musem», il s’agit d’un ancien village australien ou le temps c‘est arrêté en 1880, maintenant il sert de musée. On a pu découvrir une ancienne imprimerie, scierie, un train à vapeur, des anciennes maisons (elles sont tellement petites !)…
On vous laisse découvrir les quelques photos.

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mardi 11 novembre 2008

Que de générosités!

Le travail

Ian & Tin ont la soixantaine. Ils sont plein d’humour et aimant partager. Tous les deux anciens professeurs à l’université, ils consacrent à présent leurs temps autour de plusieurs passions.

Tout d’abord le jardinage. Lorsque l’on connait l’énergie que demande l’entretient d’un jardin, certains préféreraient en tirer profit le jour de la vente des produits. Et bien pas eux !
Nous avons pus Jeudi jouer les vendeurs au marché de Kendall et tous les gains récoltés sont simplement destinés à l’école de la ville.

Le marché; Ce jour là, on a vendu des asperges, des rhubarbes et des fleurs.

Autre chose, Ian contribue à véhiculer le message d’Al Gore et de son film « une vérité qui dérange », au sujet du réchauffement climatique. Il a put rencontrer l’auteur lors d’un meeting et sont devenue amis. On a donc eu le droit à la diffusion du documentaire et devons à notre tour en parler à notre entourage. Donc regardez-le si vous pouvez ; penser aux énergies renouvelables et attention à la surconsommation ! Les prévisions du dérèglement climatique sont catastrophiques.

Enfin, pour Tin c’est aussi cours de méditation (nos hôtes pratiquent le bouddhisme qui est une philosophie de vie très intéressante) ou encore collecte des fonds consacré aux femmes soumises un peu partout dans le monde.

Autre chose, Ian contribue à véhiculer le message d’Al Gore et de son film « une vérité qui dérange », au sujet du réchauffement climatique. Il a put rencontrer l’auteur lors d’un meeting et sont devenue amis. On a donc eu le droit à la diffusion du documentaire et devons à notre tour en parler à notre entourage. Donc regardez-le si vous pouvez ; penser aux énergies renouvelables et attention à la surconsommation ! Les prévisions du dérèglement climatique sont catastrophiques.

Enfin, pour Tin c’est aussi cours de méditation (nos hôtes pratiquent le bouddhisme qui est une philosophie de vie très intéressante) ou encore collecte des fonds consacré aux femmes soumises un peu partout dans le monde.


Voici une belle façon d’occuper sa retraite. Nous passons d’agréable moment en leurs compagnies.





Petite promenade en canoë (nos hôtes possèdent des canoës)

mercredi 5 novembre 2008

Melbourne Cup

Pour commencer, nous tenons à remercier Clémence pour son e-mail qui nous à beaucoup touché. Merci, c'est très encourageant.

Melbourne Cup est une fête nationale en Australie. Ce pays n’ayant pas eu de grandes révolutions comme chez nous, ils ont alors décrété que le 4 Novembre était une journée festive. A l’occasion, il se déroule plusieurs courses de chevaux à Melbourne (d’où le nom). Les gens parient sur leurs coureurs et en attendant la dernière course (apparemment la plus importante), ils boivent pas mal !

Et c’est finalement un cheval nommé « c’est la guerre » qui a remporté le grand prix ; Nom plutôt étrange pour un cheval australien !

Tin n’ayant jamais participé à cette journée voulait absolument y aider des amies avec qui elle travaille bénévolement au « Charity Shop » de la ville. Prêter mains fortes n’étaient simple ; Défiler avec elles en portant les habits du shop lors de la cérémonie.
Tin voulait tellement qu’on y participe qu’on a finalement accepté, mais un peu a contre cœur.

Finalement on s’est bien amusé et il y avait une ambiance « bonne enfant ». Les habitants du coin étaient très contents que des « touristes » participent au spectacle et on peut même dire que le couple de jeune français a remporté un franc succès.
Surtout Philippe auprès de ces dames !

Nous voici tout les 3 en Pyjama pour le defilé



Fanny
Posted by Picasa

Welcome to Aung Mingala Farm.


Succès et sérénité (Succès financier et spirituel)

C’est le nom de la ferme ou nous passerons quelque jours (traduit aussi en vietnamien sur la photo langue d’origine de Tin, cela veut dire « Succès et sérénité»). Elle est passionnée de cuisine et passe une bonne partie de la journée à mitonner de bon petits plats, pour la plupart d’origine asiatique.
« En cuisine on en apprend tous les jours ». C’est une phrase qui revient souvent dans une brigade de cuisine et je peux l’entendre lorsque je goute aux mets de Tin. Ils sont tous riches et variés en saveurs ; Concoctés pour la plupart avec des ingrédients qui me sont parfois inconnus. Aussi nous avons décidé de mettre nos talents en commun autour de divers recettes et ainsi partager quelques secrets et « coups de mains » qui font la différence.

Nous travaillons aussi avec Ian (Mari de Tin), le terrain est encore une fois vaste et différents jobs nous sont proposés… Entre désherbage, plantation, cueillette, et système d’irrigation nos matinées sont plutôt bien remplies.

Phil.



Iguane
Sauterelle croisée sur notre chemin

mardi 4 novembre 2008

Port Macquarie et son hôpital pour koala

Après cet émouvant départ, on s’est arrêté à Port Macquarie (environ 100km plus au sud). La ville fut créée en 1821 entant que colonie pénitentiaire pour les forçats récalcitrants de Sydney. Elle fut la troisième ville fondée sur le territoire australien. Désormais c’est une ville balnéaire réputée.


Et c’est par un temps grisâtre qu’on a pu visiter le très populaire « Koala hospital ». En fait, Port Macquarie avait une importante colonie de koalas. Mais le développement de la ville étant constamment croissante, ces petits animaux ne cessent d’être menacés par tout genres d’accidents (chient, chat, voiture, feux,…), mais aussi par la diminution de leurs habitats. Cet hôpital est le seul de tout l’Australie et accueille entre 200 et 300 koalas par ans. Et on peut féliciter les « infirmières » qui travaillent bénévolement tout les jours de l’année avec une grande passion pour ces petites peluches vivantes.



Le bébé Kola (appelé « Joey » par les australiens) né dans une poche. Lorsque celui-ci vient au monde, il est sous la forme d’un embryon et ce n’est qu’après 7 mois qu’il sort de sa poche pour s’accrocher au dot de sa maman. Cette dernière s’occupera de sa progéniture pendant 2 ans encore.




Pour plus d'information ou pour faire un petit don:
www.koalahospital.org.au

!Muchas gracias y hasta pronto!

Voila! Encore un départ! Nous quittons cette autre adorable famille. Au-revoir ping-pong, partie de criquet sur la plage, cours de surf, pause thé de 10h, etc.… Nous avons passé de très bons moments avec la famille Jones, leur gentillesse à en être gêné, et leur bon vivre aux sons de musiques salsas vont nous manquer…

Dorrigo National Park

Jeudi dernier Mickeal et Irene nous on obligé à ne pas travailler. En échange de nos 4heures journalières, ils nous on proposé de passé la journée au Dorrigo National Park (classé au patrimoine mondial). Au programme, Piquenique et ballade de6km au milieu d’une cathédrale de verdure; Plutôt sympa non!

Nous arrivons donc à 760m d’altitude au porte d’une foret humide ou chaque arbres droit et bien rangé se livre une compétition pour trouver la lumière. Comme sous un manteau de « verdure », il y règne une atmosphère, calme, tempéré et mystérieuse.




Mickeal nous décris chaque arbres et reconnait a peu prés tous les cris d’oiseaux; il a même put déceler le faux crie du « Lyrebird » imitant le son d’un autre.
Le Lyrebird est un oiseau étrange. Au allure du paon, il parade dans la foret en reproduisant toutes sortes de sons qu’il a pu entendre au cours de sa vie. Certains ressembles à des cries d’oiseaux, et d’autre plus surprenant, a des bruits de voitures n’arrivant pas à démarrer ou encore à une balle qui rebondit avec un son électrique. Celui que nous avons surpris nous a donné un vrai concert.



Entre cascade, faunes étranges, et passerelles suspendus, le parcours fut mémorable; et pour nous remercier de ça, nos hôtes nous on interdit de travailler le lendemain pour cause d’anniversaire. Irene fête un an de plus, nous sommes donc convié à la partie.