Nous arrivons donc à 760m d’altitude au porte d’une foret humide ou chaque arbres droit et bien rangé se livre une compétition pour trouver la lumière. Comme sous un manteau de « verdure », il y règne une atmosphère, calme, tempéré et mystérieuse.

Mickeal nous décris chaque arbres et reconnait a peu prés tous les cris d’oiseaux; il a même put déceler le faux crie du « Lyrebird » imitant le son d’un autre.
Le Lyrebird est un oiseau étrange. Au allure du paon, il parade dans la foret en reproduisant toutes sortes de sons qu’il a pu entendre au cours de sa vie. Certains ressembles à des cries d’oiseaux, et d’autre plus surprenant, a des bruits de voitures n’arrivant pas à démarrer ou encore à une balle qui rebondit avec un son électrique. Celui que nous avons surpris nous a donné un vrai concert.
Entre cascade, faunes étranges, et passerelles suspendus, le parcours fut mémorable; et pour nous remercier de ça, nos hôtes nous on interdit de travailler le lendemain pour cause d’anniversaire. Irene fête un an de plus, nous sommes donc convié à la partie.
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